Au bout de quoi, vous aurez décidé de la
Au bout de quoi, vous aurez décidé de la poursuite de l'expérience bloguistique ou bloguesque, comme vous voulez, mais moi je fais souvent de la ... -istique. Question de déformation professionnelle, on ne se refait pas.
Ainsi, avant d'émouvoir le landernau des blogs, à l'instar de ce faisait dire Alexandre Duval dans les Héritiers à son personnage "Sa mort a fait du bruit dans Landernau" (et à l'origine de l'expression qui s'utilise encore de nos jours), je vais poursuivre ce blog. Pour répondre à l'amitié qui m'est transmise dans vos messages, pour vous donner de mes nouvelles quand je ne vous vois pas (pour celles que je peux voir régulièrement), bref, vous dire que j'existe, que je ne vais pas si mal, que je continue de découvrir des techniques, et que parfois je termine quelque chose que je commence... (là, j'ai décidé de ne pas faire la liste).
Ce billet vaudra bien sa place dans les Bonheurs du jour que je m'étais promise de raconter. Et finalement, je les ai un peu oubliés de temps en temps. Vous parler de ces petites choses qui soutiennent la vie, qui apportent un rayon de soleil dans la journée. Toutes petites choses ordinaires, si ordinaires qu'on les oublie, qu'on en perd leur valeur, et pourtant, on n'escalade pas l'Everest tous les jours.